96/366 Courbatures en vue
Depuis quelques heures, je vis dans l'odeur du bois, ou plutôt de l'aggloméré, car ça y est, la mue est lancée. Toutes les planches de l'ex-bibliothèque sont coupées, il compris l'isorel du fond, qui s'était si bien caché que je l'avais oublié. Tant pis pour lui, il s'est fait couper-casser à la scie manuelle. Je me suis trompée dans le choix de mes équerres et il va falloir retourner au magazin, alors que je pensais avoir tout réuni, vis, mèches à bois et tourillons. Cela m'amuse d'autant moins que l'accès le plus direct à pied est en travaux, très cabossé et que j'ai beau scruter le sol, des vides et des pleins me surprennent. Au moins, ça fait ricaner les jeunes filles. Enfin, ce n'est pas si mal parti, mon bazar.
Aujourd'hui un parfum.