198/366 Sic transit merda mundi
Aujourd'hui, il suffirait de trois fois rien pour que j'envoie complètement en l'air ce jeu d'écriture qui devrait être quotidien. Le narcisisme imposé est difficilement supportable. Ce matin Twitter m'a souhaité ma fête et ç'aurait été parfait sans le parasitage de cette grotesque pantomime des caciques de l'UMP qui faisait encore clabauder les langues vipérines. Ce n'était pas non plus réjouissant de voir surgir ce souvenir d'une condamnation déjà ancienne : la droite la plus con du monde.
Aujourd'hui, il suffirait de trois fois rien pour que.