184/366 Vade retro primidi
Aujourd'hui, j'ai porté une attention particulière à ne pas me laisser dominer par la déprime. Ne pas trop me pencher sur ma vie sentimentale désertique et ne pas trop penser à ce jeune homme que je ne comprends pas vraiment. Ne pas laisser la déprime de la solitude du dimanche me ronger. J'ai pris des renseignements, imprimé des papiers pour faire renouveler mes prothèses auditives, mis de l'ordre et suis allée lire une heure à la médiathèque où il y avait foule. Jusqu'ici, mission accomplie.